Toute seule... [PV : Kaïn Highwind]

La pauvre petite Rei était enfermée dans la salle d'isolement tout au fond du couloir, celle qui était, la plus blanche, la plus froidre, la plus petite... Voila déjà quatre longs jours qu'elle y était enfermée, sans pouvoir ni boire, ni manger, ni se couvrir pour avoir un peu chaud. Mais elle n'avait rien fait du tout pour mériter une punition aussi sévère. Soudain, sa mémoire se remémora les évènements passé. Elle se plongea dans son esprit pour se rappeler de tout ça.

Début du flash-back:
La petite Rei, patiente depuis cinqs longue années dans l'hôpital psychiatrique Staint Blake était dans sa chambre. Avec des tas et des tas de médecins. De méchants médecins. Depuis cinqs années elle était torturée et utilisée comme cobaye par ces médecins. Elle était docile car elle savait quel était sa destiné depuis quatre ans et demi. Elle n'avait pas était envoyée dans cet établissement pour qu'on essaye de la faire guérir, elle était là pour être un jouet. Déjà qu'elle était le jouet de Bloody, cela ne changer pas beaucoup. Sa chambre était toute blanche, enfin, grise avec des taches de sang séchés partout. Elle était composée d'un lit à armature en métal peint en blanc, d'un matelas à ressoir dur. Sur ce lit était fixé des sangles. De vieilles sangles au cuir bien dur, recouvert de sang. Pas trop loin du lit, contre un mur était fixé un lavabo et au dessus de celui-ci était fixé un miroir. Cette petite chambre était toute froide et puait le sang. C'était la deuxième fois ou la jeune patiente n'était pas attachée quand elle se trouvait dans sa chambre. Du coup, Bloody décida d'en profiter un peu pour s'amuser encore car la rencontre avec le directeur lui avait plus. Elle dit donc à sa chère petite poupée:


*BLOODY: Aller ma jolie, sois gentille et chante donc une nouvelle jolie chanson~*

Bloody allait provoquer une crise de transe à la petite Rei. Rei était assis sur son lit, ses longs cheveux tombaient jusqu'au sol. Soudain, elle se leva, sa tête était en arrière laissant apparaître son visage de petite poupée qui faisait froid dans le dos. Ses yeux noirs corbeaux affichaient une lueur de zombie sans vie. Elle se dirigea lentement vers le miroir, tout en chantant une chanson.

-Je suis une poupée folle...
Une poupée...
Folle...
Qui chante le soir...
Au bord de sa fenêtre...
Pendant une nuit noir...
A lune de sang...
Le sang...
Rouge...
S'écoule...
S'écoule...
Encore...
Toujours...
Partout...

La...
Lala...
Lala...
La...

La poupée sanglante...
Avec son couteau froid...
Etale...
Etale...
Du sang...
Encore...
Toujours...
Partout...

La...
Lala...
Lala...
La...

La jolie poupée...
Folle et sanglante...
Obéit à son maitre...
Un maitre...
Sadique et méchant...
Mais gentil...
Quand sa poupée lui obéit...
Mais...
Quand celle-ci est insolente...
Il va l'a punir...
Bien sur le maitre...
Lui, punit sans cesse...
Pour rien...
Malheureusement...
Quand il punit vraiment...
La poupée a peur...
C'est la punission ultime...
La poupée ne chanteras plus...

La...
Lala...
Lala...
La...

Suivant cela, elle se tapa plusieurs fois les poings et la tete contre le mur, les médecins l'a métrisèrent et l'enfermèrent dans cette salle.
Fin du flash back:

La pauvre Rei se mît en boule et pleura. Plus tard, quelqu'un entra, mais elle avait peur, donc ne bougea pas. Mais répétée sans cesse.

-Je...je suis Rei KURAN...monsieur...docteur...
Gomenasai...gomenasai....gomenasai...!!!...
......pas fait exprés....pas fait....exprès....Gomenasai...

Après un petit ''incident'',je me rend à la salle d'isolement pour faire mon travail.Je marche dans le couloir tel un gardien de prison venant chercher la personne à executer, des pas bruyants mais calme pour finalement me rendre devant une vielle porte rouillé par les années.Je vérifias le numéro de la pièce,c'étais le bon, je pris alors la clé que l'ont m'avait confié et dévérouilla la porte, la porte était un peu difficil à ouvrir,mais pas trop, le son lugubre d'une porte en manque d'huile me plaisait bien.C'est la première fois que je vois cette fille et j'espère pour elle que ce sera la dernière.En entrant dans la salle où était une certaine ''Rei'' un sentiment d'étonnement me pris,Elle est petite,je m'attendais à voir une femme majeur,oserais-je faire du mal à une enfant ? Pourquoi pas.

je remarque églament qu'elle pleure tout en disant des trucs que j'ai plus ou moin du mal à comprendre,


j'aimais bien la voir pleurer tout en baratinant des choses,je la plaint la pauvre d'être tomber sur moi.


Avant d'entamer,je lis le petit ''briefing'' que les employer ont fait après l'avoir enfermer,

(...)


Elle a l'air si fragile,vais-je vraiment m'amuser avec cette petite chose ? J'espère bien,de toute facon,je n'ai pas le choix.Elle pleure encore,je m'approche d'elle,je me penche à sa hauteur,je prends son visage si fragile,comme une poupée avec ma main gauche,sans totalement m'en rendre compte,je lui met une baffe avec une telle intensité...


Je la regarde fixement penant plusieurs minutes,va-t'elle s'arrêter de pleurer ? Peu importe,faisons la crier un peu,ca ne sera que plus agréable à attendre.Vu que c'étais une femme,je m'étais faiblement équipé pour en terminer rapidement,mais maintenant je me dis que pour elle,j'aurais du emmener plus ''d'outil'',je l'aide à ce relever péniblement et une fois debout je prends une petite dague que j'avais emmener pour l'occasion pour finalement lui planter derrière la cuisse droite.Elle a beaucoup de sang pour une si petite chose... Je dois lui laisser ma dague,si je lui retire elle va ce vider de son sang et mourrir,ce qui ne doit pas être, mais je prends soin de la menoter pour ne pas qu'elle la retire elle même,


Je prends ma seconde petite dague dans la main droite puis je prends sa petite main avec ma gauche,elle est si douce pour quelqu'un qui passé des années ici,arrangeons sa.D'un geste ferme je lui faire une grosse coupure propre dans la main,près des doigts.Ensuite je m'éloigne un peu,pour la regarder avoir mal...